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44000 Nantes

Du mercredi au samedi
De 14h à 19h et sur rendez-vous

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Exposition

Poussières des toiles

Exposition de Gérard Hauray

Du 20 avril 2024 au 1er juin 2024

Gérard Hauray, Portraits anthropo(s)cènes, 2023
Gérard Hauray, Portraits anthropo(s)cènes, 2023
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV
Vue de l’exposition Poussière des toiles de Gérard Hauray, 2024 © Galerie RDV

Du 20 avril au 1er juin 2024, RDV présente : Poussières des toiles, une exposition de l’artiste essayiste Gérard Hauray.

Gérard Hauray est artiste essayiste. En lien avec ses expositions, il participe et organise des conférences, séminaires faisant lien entre l’art, la science, « écoumène » et les vanités.

Avec l’exposition Poussières des toiles, Gérard Hauray propose ici un travail autour de l’idée de vanité. Ce sont des images picturales et sculpturales qui évoquent la précarité et le vide de sens, le besoin de paraître au détriment de l’être, au détriment de la vie. Quête de visibilité, illusoires recherches de gloire, divertissantes lumières qui se font (fonds… fondent…) Et qui ont comme effet d’occulter les problèmes cruciaux qui se posent à l’humanité dans les domaines de l’anthropocène, l’environnement, la disparition du vivant. Il met donc en scène, dans des dispositifs variés en utilisant peintures ou matériaux périssables qui se métamorphosent ou se délitent dans le temps, la transformation et la disparition inéluctables de têtes ou de portraits de célébrités de la sphère médiatico-politique.

Disparitions de figures ostentatoires pour interpeller sur l’action délétère de l’homme qui provoque la disparition de la vie sur terre.

Humus humain, poussières et vanités, rien à restaurer.

Et comme l’écrit Alexandre Vialatte :
« L’homme n’est que poussière, c’est dire l’importance du plumeau ». Et du pinceau, peut-on dire ici.
A.Vialatte, Chroniques de la montagne.