16 Allée du Commandant Charcot
44000 Nantes

Du mercredi au samedi
De 14h à 19h et sur rendez-vous

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Exposition

Colchique

Exposition de Claire Maugeais

Du 22 juin 2024 au 3 août 2024

Claire Maugeais, Nantes 3, 2022, © ADAGP, Claire Maugeais
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV
Vue générale de l’exposition Colchique de Claire Maugeais © Galerie RDV

Du 22 juin au 3 août 2024, RDV présente : Colchique, une exposition de l’artiste Claire Maugeais.

Pour l’exposition Colchique, Claire Maugeais présente une de ces dernières séries Nantes. L’aspect graphique de ces peintures provient de l’esthétique photocopie qu’elle utilisait dans ces installations éphémères dans les années 1990. Pour chacun de ces portraits de villes, elle choisit un support particulier qui correspond à l’idée qu’elle s’en fait (par exemple : rideau/Shangaï, silas/Chenzhen, serpillière/Royan et madras/Nantes).

Claire Maugeais expose également des travaux plus anciens, en cours ou peu montrés. Ils sont comme des indices d’interprétation de l’ensemble de son travail. L’architecture est traitée comme un motif. Les multiples évocations de la guerre, au travers des œuvres Chien de fusil, Guerre de l’eau, Archipantin ou Pantin semblent évoquer un malaise d’habiter sa ville et/ou son corps.

Colchique ou Coltchique ou Queue de chique. Zéro+zéro=la tête à toto.

« Claire Maugeais nous interroge sur le statut que nous conférons au visible – ne voir que ce que nous voulons voir –, et à notre manière de croire que tout doit être lisible d’emblée. Elle sèvre justement notre regard de sa croyance en une netteté et immédiateté de toutes choses, comme elle lui refuse tout objet artistique trop spectaculaire.
De surcroît, son oeuvre propose au regard des spectateurs des élaborations subtiles qui ne cessent de répertorier les composantes clefs de l’architecture et de la ville. »
Christian Ruby, Vêtement architectural, commande publique Quartier Sentier à Paris, 2012